Le cheval rouge Dans les manèges du mensonge | |
L'automne Un cheval s'écroule au milieu d'une allée Dimanche Entre les rangées d'arbres de l'avenue des Gobelins
|
mardi 25 novembre 2008
Jacques Prévert
mercredi 12 novembre 2008
la politesse perdue
Merde, je le sais, ce n'est pas poli de le dire mais, deux ans que j'étudie le français pour pouvoir avoir une petite, la moindre possibilité, opportunité d'être muté à Paris, deux ans qu'il a fallu dépenser plus de 700 € et tout à coup, par un changement de la politique du...... (Je ne peux pas le mettre, c'est interdit) on demande le niveau d'anglais. Il ne faut pas déconner. Soyons sérieux¡
C'est la deuxième fois qu'on se fout de moi en pleine gueule. Pas normal. À quoi ça sert l'anglais à Paris? J'aimerais bien le savoir. Pour prendre le métro? Pour le loyer? Non, peut-être pour parler avec les Japonais qui font la queue pour monter à la Tour Eiffel , ou on ne sait jamais, pour les accompagner à faire leurs achats aux galeries Lafayette. Ça doit être ça sûrement.
Heureusement pour finir cette grande semaine, inutile de dire que tous ces malheurs n’ont pas fini, j’ai su qu’à la fin de l’année prochaine, je perdrai pos mon poste de travail et comme petite faveur, je serai promu, pas mal non ? Surtout parce que je perds la moindre possibilité d’obtenir une place ici. Ce n’est pas pareil d’être le plus ancien dans mon rang que d’être le plus moderne.
Et en faisant une petite comparaison de ma situation personnelle et la vieille chanson du paquebot « le France », je vous laisse avec le maître des maîtres, monsieur Michel Sardou.
jeudi 6 novembre 2008
quand j'étais.......
Un vieux comptoir en bois avec des petits carreaux jaunes, un robinet de bière à pression, une coquetière toujours pleine pour les clients, les verres toujours propres, les bouteilles bien disposées, deux photos de chevaux. C’était l’Hôtel de la Gare, à Pont-Rémy en Picardie. L’hôtel-restaurant que tenaient mes grands-parents de 1965 à 1975. Un grand restaurant au moins pour moi à cette époque là, où je n’étais qu’un môme. Un énorme univers s’ouvrait devant moi. Une immense salle de billard pour y passer les jours de pluie, si habituels au nord de la France, La cour et son sapin qui devait mesurer près de 300 mètres, au moins je le croyais ainsi. Le vieux poulailler attenant au petit bâtiment pour les cochons et les lapins, où on allait chaque jour, avant le midi, pour cueillir les œufs. Il existait un long jardin contigu, qui était rempli de cassis, et d’autres arbres fruitiers de telle manière qu’au printemps il me semblait que j’étais dans une forêt bien épaisse comme dans les films de guerre qu’on passait sur le vieux poste de télévision en noir et blanc.
Mais il manque mon défenseur, toujours prêt à m’aider, mon copain inséparable, mon « pote » de jeux, mon fidèle berger allemand, Rex. Le pauvre animal était mon cheval, mon espion-adjoint, le brave guerrier, quand on poursuivait les canards que, bien sûr, on prenait pour les envahisseurs de notre forteresse inexpugnable.
Une enfance heureuse que j’aurais bien souhaitée à ma fille, sans les modernes appareils de ces temps modernes.
ENTRE MES SOUVENIRS, LUZ CASAL, ENTRE MIS RECUERDOS VERSION EN FRANCÉS
Mais il manque mon défenseur, toujours prêt à m’aider, mon copain inséparable, mon « pote » de jeux, mon fidèle berger allemand, Rex. Le pauvre animal était mon cheval, mon espion-adjoint, le brave guerrier, quand on poursuivait les canards que, bien sûr, on prenait pour les envahisseurs de notre forteresse inexpugnable.
Une enfance heureuse que j’aurais bien souhaitée à ma fille, sans les modernes appareils de ces temps modernes.
ENTRE MES SOUVENIRS, LUZ CASAL, ENTRE MIS RECUERDOS VERSION EN FRANCÉS
mardi 21 octobre 2008
bienvenu sur mon blog
ça y est¡ c'est fait¡ on commence une nouvelle étape comme apprenti d'écrivain. Un simple amateur avec la seule prétention d'améliorer ses connaissances de sa langue maternelle.
J'espère pouvoir vous laissez un petit article chaque week-end, un peu ironique, un peu différent, un peu de moi-même.
Et surtout merci d'être rentré chez moi
Version espagnole interprétait par Joe Dassin
Inscription à :
Articles (Atom)